Omniprésent dans la vie quotidienne des Haïtiens, le patrimoine musical a été gravement affecté par le séisme qui a secoué l’île en 2010. C’est ainsi qu’afin de venir en aide aux populations locales, PSF s’est engagé dans la mise en place d’un long programme de soutien aux écoles de musique.
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La musique, clé de voûte de la culture haïtienne
© École de musique Jacmel-Dessaix
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Sans lutherie, il n'y a plus de musique !
Patrimoine sans frontières a pris le pari, pour sauvegarder les cultures musicales haïtiennes, d'aider à la consolidation du secteur de la lutherie, inhérente à la pratique musicale.
© École de musique Jacmel-Dessaix
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Les cours de musique
L'éducation musicale à la source de la transmission et de la valorisation de la culture haïtienne.
© École de musique Jacmel-Dessaix
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Après avoir mené plusieurs projets de restauration et de valorisation de patrimoines en danger, PSF a décidé de s’engager dans un projet à portée pédagogique : Patrimoine y es-tu ? En sensibilisant les enfants à l’importance de préserver le patrimoine culturel, le projet participait à la construction personnelle et collective de chacun.
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Patrimoine y es-tu ?
Les élèves, après avoir redécouvert l'histoire de leur famille, constituaient un musée commun qui regroupait l'ensemble des objets porteurs de leur mémoire.
© PSF
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L'élément patrimoine de Chris
Chris a choisi l'album philatélique de son grand-père.
© PSF
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L'élément patrimoine de Pierre
Après avoir redécouvert son histoire familiale, Pierre a décidé de devenir musicien (ici, posant fièrement avec l'accordéon de sa grand-mère).
© PSF
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D’une richesse inouïe, le fonds de la famille Marubi retrace presqu’un siècle de l’histoire albanaise. Le fonds se trouvant dans un état de préservation préoccupant, PSF s’est engagé dans des actions de restauration et de valorisation qui ont permis à l’Europe de découvrir un patrimoine resté dans l’ombre pendant de longues années.
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La mosquée des Plombs à Shkodra
Photographie de Kel Marubi, prise entre 1900 et 1919.
© PSF
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Construction de la cathédrale de Shkodra
Photographie de Pjetër Marubi, prise en 1898.
© PSF
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Habits traditionnels de la région de Shkodra
Photographie de Kel Marubi, prise entre 1900 et 1919.
© PSF
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Qamile Sadri Keqi avec sa famille
Photographie de Kel Marubi, prise entre 1900 et 1919.
© PSF
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Pêcheurs et éleveurs de poneys, les Musgums peuplent les plaines du bas Logone, à la frontière du Tchad et de l’extrême nord du Cameroun.
Véritable habitat emblématique à forme architecturale inédite, la case musgum est construite à partir d’un mélange de terre et d’herbe sur un plan circulaire, par superposition d’assises successives, pour des unités pouvant atteindre 6 à 15 mètres de hauteur et 5 à 10 de diamètre.
Malgré la disparition de la case-obus dans les années 1970, celle-ci demeure dans la mémoire collective des Musgums et a toujours suscité un certain attachement de la part des anciens, la communauté reconnaissant la case musgum comme partie intégrante de son identité.
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Habitants de Mourla, Cameroun
© PSF
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Rénovation d'une case obus
© PSF
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Festival Musgum
Tous les ans depuis l'an 2000, le festival de la culture Musgum est organisé à Mourla
© PSF
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Construction d'une case obus
© PSF
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Le village de Salima, habité par une population mixte druze et chrétienne, a été durement marqué par la guerre civile libanaise. Situé dans la montagne, à 38 kilomètres à l’est de Beyrouth, il fut l’un des premiers villages à subir des destructions et l’un des derniers à attendre le retour de sa population.
De 2001 à 2003, Patrimoine sans frontières s’est investi dans une action d’encouragement à la réappropriation de l’espace public par les deux communautés et dans une démarche de création contemporaine.
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Centre ville de Salima
© PSF\Manon Colombani
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Les fontaines de Salima
© PSF
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Dans le cadre du volet « Éducation et mémoire » du programme international CORE (Coopération pour la réhabilitation des conditions de vie dans les territoires contaminés), Patrimoine sans frontières est intervenu en Biélorussie afin d’aider à la transmission internationale et intergénérationnelle de la mémoire de l’accident de Tchernobyl.
Le sentiment d’abandon et d’échec, la dépossession du milieu de vie, ainsi que le déni de la catastrophe de Tchernobyl et de ses conséquences sur la vie quotidienne, ont guidé les programmes de l’association.
Patrimoine sans frontières a développé deux volets à ce programme :
- Villages perdus
- Dis-moi, nuage...
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Villages perdus : À la recherche des territoires disparus de Biélorussie.
Une maison abandonnée, dans les territoires contaminés de Biélorussie, après la catastrophe de Tchernobyl.
© PSF
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Villages perdus : À la recherche des territoires disparus de Biélorussie.
Une maison abandonnée, dans les territoires contaminés de Biélorussie, après la catastrophe de Tchernobyl.
© PSF
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Des enfants du monde entier participent à la réalisation de dessins, de récits et de court-métrages, autour de leur propre vision de la catstrophe de Tchernobyl, 20 ans plus tard.
© PSF
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Des enfants du monde entier participent à la réalisation de dessins, de récits et de court-métrages, autour de leur propre vision de la catstrophe de Tchernobyl, 20 ans plus tard.
© PSF
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Les dessins exposés, dans une école primaire.
© PSF
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